1986 – un OVNI aperçu depuis un navire de l’US Army

Texte d’origine à:
http://www.ufocasebook.com/2011/ussedentonats1.html
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Traduit de l’anglais par le Grepi

 

Alors que j’étais en service dans l’US Navy au cours de l’été 1986, je me trouvais de garde à bord de l’USS Edenton ATS 1 (actuellement retiré de la Flotte).

La sentinelle se trouvait placée à l’extérieur, au-dessus du pont du navire, et était chargée de faire rapport sur tout ce qu’elle observait, aussi bien sur la mer que dans le ciel.

Au cours d’une de mes veilles, aux alentours de 23h00, alors que le bâtiment se trouvait par une nuit claire à moins de vingt kilomètres au large de la côte de Cap Hatteras en Caroline du Nord, quatre lumières circulaires surgirent soudain de nulle part. Elles étaient distantes de quelques centaines de mètres les unes des autres et formaient un carré.

J’ai tout d’abord pensé qu’il s’agissait de quatre hélicoptères car les lumières étaient stationnaires et que, étant donné l’éloignement, elles étaient trop grandes pour correspondre à des phares d’avions. En outre, on ne distinguait pas les feux verts et blancs qui soulignent la forme d’un avion vu de nuit.

Chacune de ces quatre lumières avait la taille apparente d’un petit avion. Elles étaient très brillantes et bien nettes dans le ciel dégagé de nuages, avec un clair de lune et un nombre modéré d’étoiles visibles, facilitant ainsi l’estimation de la taille et de la distance des lumières en question.

Comme je l’ai déjà dit, ces lumières formant un carré dans le ciel semblaient toutes immobiles et sorties de nulle part. Dès que je me fus rendu compte de leur caractère étrange, j’appelai le pont en contrebas via le système de communication, demandant qu’on avertisse l’Officier de Pont d’une possible observation d’ovni. J’entendis alors des rires dans l’interphone, qui m’amenèrent à réitérer ma demande d’une voix ferme et néanmoins excitée, ce qui attira cette fois l’attention de l’officier.

Juste après lui avoir transmis l’information, les quatre lumières, dans un éclair, filèrent sans bruit comme des flèches vers l’horizon, les deux en bas du carré partant en premier, les deux autres suivant immédiatement derrière, en un mouvement courbe et tournoyant. Ensuite et en une ou deux secondes, elles disparurent toutes, droit dans l’espace!

A ce moment-là, je fus estomaqué. Complètement excité, je priai pour que quelqu’un sur le pont ait aussi vu ce que je venais de voir. J’étais d’autant plus excité que, passionné par l’observation du ciel et des étoiles et me doutant bien que la vie devait exister ailleurs que sur Terre, je venais de faire ma première observation d’ovnis.
Revenu sur le pont, je fus heureux d’apprendre que l’Officier de Pont ainsi que chacun des autres matelots avaient assisté à l’événement, lequel fut consigné dans le livre de bord sous «observation d’ovni».

Une demi-heure plus tard, l’alerte aux rayons gammas se déclencha tout à coup sur le pont en émettant une série de claquements. D’abord, personne ne sembla comprendre ce qui se passait, jusqu’à ce qu’une sonnerie se mette en marche signifiant que nous avions été fortement irradiés.
Lorsque l’alerte cessa, le compteur montra que nous avions subi une pointe de 385 roentgens en une minute. Le capitaine fut alors réveillé et appelé sur le pont, ainsi que le responsable à bord des instruments de contrôle des radiations.

Curieusement, le capitaine ne sembla pas plus que ça impressionné par l’intrusion d’ovnis à proximité du navire et pensa en premier lieu que le système de détection des radiations était défectueux. Le responsable des instruments affirma que, la veille, le compteur avait été vérifié. Par ailleurs, les autres compteurs à bord montraient tous qu’ils avaient enregistré la même quantité de roentgens que celui du pont.
Le capitaine ordonna que rien ne soit inscrit au sujet de l’exposition aux radiations et quitta les lieux.

Pendant le reste de mon service de veille cette nuit-là, aucun officier ni soldat ne reparla de l’événement. Tout le monde se comporta comme si rien ne s’était passé.

De toute façon cette expérience est restée gravée dans ma mémoire comme si elle avait eu lieu hier. Je n’en ai parlé qu’à un petit nombre de personnes, seulement celles dont je pensais qu’elles me croiraient. C’est aussi la première fois que j’ai mis par écrit les événements de cette nuit-là.

En conclusion, à titre comparatif de l’intensité des radiations reçues par l’équipage et moi-même, tout le personnel au sol des expériences du «Project Trinity» en 1945 n’a reçu  qu’une dose entre 1 et 6 de radiations gamma.

Ceci me conduit à penser que nous avons dû traverser le sillage des ovnis vus une demi-heure auparavant.