Les soucoupes chez Heidi

2ème partie

J.-L. était en promenade avec un de ses amis au-dessus de Gryon, dans les Alpes vaudoises, à la fin du printemps (ou début de l'été) 1977...
La suite dans notre rubrique "enquêtes".


A la fin de la soirée de ce 27 septembre 1977, le couple H., après avoir éteint la télévision, s'apprête à aller se coucher. Tout est calme et silencieux dans le village de Vuarrens, dans le Gros de Vaud, endormi à cette heure tardive.
Mue par une soudaine impulsion, Mme H. se lève et sans comprendre la raison de son geste, écarte les épais rideaux, puis ouvre l'une après l'autre les doubles fenêtres de son salon. Fixant alors le marronnier qui s'encadre devant elle, elle reste sans voix et sourde aux questions de son mari, en voyant une énorme ellipse rougeoyante glisser sans bruit sur la campagne déserte. Intrigué, M. H. a rejoint sa femme à la fenêtre, et tous deux assistent alors à un spectacle étonnant:
S'étant subitement éteinte, la forme incandescente fait place à deux ou trois faisceaux lumineux dirigés vers le sol, qui s'allument et s'éteignent alternativement trois ou quatre fois. Ces faisceaux vont du vert blafard au gris métal, en passant par le bleu pâle. Au bout d'une vingtaine de seconde, l'objet ayant poursuivi son déplacement vers le sud-ouest, tout a disparu. Se pinçant mutuellement pour être sûrs de ne pas avoir rêvé, les époux H. vont finalement se coucher, ayant un peu de peine, après une vision aussi inhabituelle, à trouver le sommeil.

Au réveil, Mme H. découvre sur sa joue droite une petite brûlure très localisée. Ses yeux aussi brûlent, et les larmes s'écoulent sans discontinuer. Et ce choc physique lui remet en mémoire un événement vieux de trois ans, survenu dans son jardin, en cueillant des framboises...

C'était pendant l'été 1974, se souvient Mme H. Elle fut alors éblouie par une violente lumière, dont la source se situait à quelque 60° du soleil, au sud-est. Mme H. ne se rappelle rien d'autre, mais cette lumière fut si forte qu'elle en resta aveuglée pendant quelques secondes, sans comprendre ce qui se passait. C'est suite à cet éblouissement que ses yeux s'étaient mis à couler, exactement comme aujourd'hui. A l'époque, sa visite chez le médecin, puis l'application de la pommade qu'elle s'était vu prescrire, n'avaient rien arrangé. Au contraire, ces crises de larmes se reproduiront à intervalles réguliers pendant deux ans.

Quelque temps après le flash du jardin, Mme H. avait été surprise, dans sa cuisine, par un éclair soudain et inattendu, puisque le ciel était complètement dégagé...

Pendant les mois qui suivirent ces illuminations inexplicables, Mme H. se sentit poussée à exprimer de façon artistique des images ou des idées qu'elle n'avait jamais eues auparavant. Se découvrant subitement des dons dont elle croyait, par expérience, être dépourvue, elle se mit à écrire des poèmes, à dessiner et à peindre des scènes de la nature avec un talent qui surprit son mari, mais aussi elle-même, d'autant plus qu'elle ne s'explique absolument pas l'inspiration étrange dont elle est parfois l'objet, ni l'urgence qu'elle ressent alors de lui donner forme toutes affaires cessantes.

"Je ne sais pas pourquoi je dessine des serpents, ça me vient tout seul sans que j'y pense...", observe-t-elle. "Quand je fais les premiers traits, je ne sais pas ce que ça va donner!"
Elle et son mari se sentirent transformés par leur énigmatique expérience. Ils trouvèrent davantage de faciliter à communiquer, se posèrent des questions qui les avaient jamais effleurés, sentir s'éveiller en eux une boulimique soif de connaissances...
Leurs crânes humains auraient-ils été perméables aux lumières célestes?

Nyon, le 11 octobre 1977: une soucoupe volante atterrit près de l'autoroute. Elle réapparaît le lendemain. Tous les détails sur cet événement exceptionnel font l'objet d'une page spéciale: Nyon: Rencontre du IIIe type!


Un OVNI à travers le ciel loclois

Samuel Muller, Giuseppe Carruba, Jean-Marie Martin, affirment avoir vu un OVNI mercredi 13 septembre 1978. Le temps était calme, la lune brillait dans le ciel. Ces trois copains discutaient devant le domicile de l'un d'eux qui s'apprêtait à rentrer. Il était environ 21h45. Soudain, tous trois - ils sont formels sur ce point - ont senti comme un vent un peu frais, en même temps qu'ils entendaient une sorte de chuintement ou de sifflement. "Un peu comme lorsque l'on est dans la forêt et que l'on entend le vent qui se lève et agite les feuilles des arbres" a dit l'un d'eux. L'un des jeunes gens, Giuseppe, lève les yeux, cédant à un réflexe qu'il ne peut expliquer. Comme s'il avait intuitivement eu l'impression d'avoir quelque chose au-dessus de la tête.

Tous trois se trouvaient sur la rue Jean-Jacques Huguenin, à proximité du café des Chasseurs, Giuseppe alors pousse un cri "une soucoupe!", après avoir examiné le ciel 2 à 3 secondes. En effet un objet circulaire d'un diamètre de 10 à 15 mètres vient de passer en dessus de leurs têtes. Ils l'ont aperçu entre deux toits, volant à une hauteur d'environ 60 mètres du sol. Tirant un de ses amis par la manche, il se met à courir à l'intersection avec la rue du Levant, car d'où ils étaient ils ne pouvaient plus rien distinguer, leur champ de vision étant trop restreint à cause des façades des maisons. C'est alors que son camarade aperçoit l'objet. Une demi-seconde peut-être avant qu'il ne disparaisse à nouveau, caché par une autre maison. Mais tous deux diront la même chose. C'était un objet qui, vu de dessous, était circulaire. Depuis son centre s'échappait une longue flamme bleue, en direction du bord du disque. Cette flamme était de forme triangulaire, sa pointe étant au centre, elle allait en s'élargissant. Curieusement, ils n'eurent pas l'impression, malgré sa surface, qu'elle éclairait les alentours. Il s'agissait donc d'une lumière très mate. Le second témoin qui vit l'objet alors qu'il ne se trouvait pas au-dessus de sa tête dira avoir distingué une silhouette en forme de disque surmonté d'un dôme, présentant des angles très doux.

Tous deux diront aussi que la surface où ne se trouvait pas la flamme, sous l'objet, était très orangée.

Jusqu'ici, Samuel, qui n'avait encore rien vu, se mit au volant de sa voiture et les trois amis se rendirent aux Eplatures, désireux d'en voir davantage. Au début ils ne remarquèrent rien, puis ayant fait demi-tour, ils aperçurent à nouveau l'objet, alors qu'ils se trouvaient environ au-dessus des Roulets. Bien entendu, de leur emplacement, ils ne pouvaient plus distinguer sa forme. Ils constatèrent qu'il se déplaçait à une très grande vitesse pour parfois s'arrêter. Alors qu'il était stationnaire, de sa base étaient émises de petites flammèches ou des étincelles, jaillissant par intermitence à une cadence très rapide. Voyant cette "chose" progresser en direction du Locle, ils se rendirent aux Entre-deux-Monts et l'aperçurent à quelques centaines de mètres d'eux, à côté du relais TV situé à la Pluie. Elle était environ à la même hauteur que la lampe rouge qui signale le sommet de l'antenne. Durant tous ces déplacements, l'objet émettait des lueurs rouges, virant parfois au bleu ou blanc. Ces feux clignotaient de façon irrégulière et parfois désordonnée. Les trois jeunes gens se rendirent ensuite au Haut de la Julase pour apercevoir l'OVNI se diriger sur la France, du côté de Dijon.

L'Impartial (La Chaux-de-Fonds) 17 septembre 1978


Zermatt, le 31 décembre 1978, Mme J. K. raconte:

"Le 31 décembre, je me trouvais à Zermatt avec une amie. Or, vers 20h - 20h30 environ, nous avons observé "quelque chose" dans le ciel. Tout d'abord, j'ai cru qu'il s'agissait d'un feu à cause de la couleur jaune brillant, mais un feu sur les glaciers un 31 décembre, ce n'est pas possible. Et puis la lumière s'est déplacée dans le ciel, très lentement, pour se rapprocher de nous, tout à fait silencieusement. Il ne pouvait s'agir d'un appareil à moteur. C'était quelque chose de rond, lumineux. Malheureusement, en arrivant au-dessus de Zermatt, cette lumière a disparu tout à coup dans les brouillards, et nous n'avons pas attendu plus longtemps.

"D'autre part, la nuit du 31 décembre au 1er janvier, Zermatt a été totalement plongé dans l'obscurité par une panne de courant, vers 2h30 du matin. Les zermattois ne semblaient pas très informés sur les causes de cette panne. Peut-être une avalanche dans les montagnes, nous ont-ils dit."


OVNI DANS LE CIEL TESSINOIS

L'ufologue italien bien connu au Tessin, Massimo Cantoni de Cernobbio près de Côme, à deux pas de la frontière, ne sait plus où donner de la tête: depuis le début de l'année, ce ne sont pas moins d'une vingtaine d'ovnis qui ont été aperçus dans le ciel tessinois, surtout dans le sud du canton. Parmi ces apparitions figurent quelques rencontres du deuxième type, minutieusement décrites par des témoins "dignes de foi" selon l'ufologue italien, par ailleurs psychiatre dans une clinique de Côme.

Il y a d'abord eu deux rencontres du deuxième type signalées en janvier dernier à Massimo Cantoni: la première, au début du mois, a été faite par une jeune femme qui rentrait, peu après minuit, de Lugano à Chiasso au volant de sa voiture, sur l'autoroute N2. A un certain moment, la conductrice a aperçu, à une cinquantaine de mètres, un objet lumineux qu'elle n'a pu éviter et qui, selon ses dires, a heurté sa voiture avant de disparaître. Le lendemain, le choc était visible sur la carrosserie.

Toujours sur l'autoroute, le 11 janvier un peu après minuit, une seconde rencontre du deuxième type a laissé des traces sonores sur une cassette de musique, par ailleurs examinée par les techniciens de la Radio-Télévision de la Suisse italienne: alors qu'au volant de sa voiture elle rentrait chez elle à Novazzano, dans le sud du canton, une femme de 34 ans s'est subitement trouvée en présence d'un objet opaque qui s'est écrasé sur l'aile avant-gauche de son automobile et s'est désintégré en faisant un bruit sourd et en projetant des gouttelettes sur le pare-brise et la vitre latérale du véhicule.
Prise de panique, la femme ne s'est pas arrêtée mais, pour se calmer, a inséré une cassette de musique qui, auparavant parfaitement enregistrée, a émis un son anormal, métallique: selon un technicien de la radio qui a examiné la bande sonore, il pourrait s'agir d'un effet électromagnétique jusqu'ici inexpliqué.

Parmi les nombreuses autres apparitions d'ovnis signalées à Massimo Cantoni, celle relevée par un aubergiste le 30 janvier dernier dans la montagne au-dessus de Ghirone (nord du canton) un peu avant minuit, a pu être fixée sur la pellicule. Le témoin qui se trouvait devant son refuge de montagne, a soudain vu, assez haut dans le ciel, un objet lumineux blanc, en forme sphérique un peu écrasée.
Le temps de prendre son appareil de photo à l'intérieur de la cabane, un second objet s'était approché du premier: selon l'aubergiste, les deux ovnis sont restés quelque temps immobiles avant de disparaître brusquement, permettant toutefois à l'homme de faire trois diapositives qui illustrent l'apparition. "Même si", précise Massimo Cantoni, "la photographie en ufologie ne représente pas une preuve irréfutable, les clichés ne sont pas truqués."

Les nombreuses apparitions étranges signalées à Massimo Cantoni depuis le début de cette année "n'ont pas encore trouvé d'explication logique et rationnelle: toutefois, souligne l'ufologue de Cernobbio, les différentes personnes qui m'ont contacté sont dignes de foi et leurs versions plausibles." Reste à savoir pourquoi les apparitions se concentrent dans le sud du Tessin plutôt qu'ailleurs.

(Agence télégraphique suisse, 16 février 1989)


Les deux témoins roulaient sur l'autoroute en direction de Genève, cette nuit du samedi 29 au dimanche 30 octobre 1994 entre 0h35 et 0h45.

Depuis la Blécherette jusqu'à Morges, ils observent "une forme constituée d'un ensemble de spots faiblement lumineux, organisés géométriquement en trois losanges concentriques d'environ 30 à 50 mètres de côté". L'objet se trouvait entre l'autoroute et le lac. Il tournait sur lui-même dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et paraissait glisser souplement, sans bruit, dans l'espace. Sa trajectoire était rectiligne, dans le sens de l'autoroute.

A un certain moment, l'objet s'est approché, sans ralentir son mouvement de rotation. Il se trouvait alors à environ 150 mètres et il a changé son sens de rotation.

L'observation a pris fin lorsque la voiture est sortie de l'autoroute à Morges.

Trois quarts d'heure après leur observation, les témoins téléphonèrent à plusieurs discothèques de la région pour savoir si l'une d'entre elles utilisait ce soir-là un "éclairage laser". Toutes les réponses furent négatives. Couleur 3, l'aérodrome militaire de Payerne, la police de Morges et la tour de contrôle de Cointrin furent également contactés et incapables d'apporter une réponse aux interrogations des témoins.

LDLN N° 328


Le 4 mai 1996, R.S. arrive sur son lieu de travail à Bâle. Il est 5h12. Le ciel est couvert, et il fait froid.

Tout à coup, un phénomène lumineux apparaît dans le ciel. Le témoin se précipite dans la cour et commence à observer une grande forme ovale, trouée en son milieu, légèrement inclinée, avec plein de petits ronds tournant sur eux-mêmes. Couleur: gris clair.

L'observation dura cinq minutes, jusqu'à 5h17, et le témoin dut cesser l'observation pour se rendre à son travail. Il a longtemps hésité avant de raconter son histoire.

Commentaire des enquêteurs: "A première vue, on a l'impression d'avoir affaire à un sky (projecteurs de discothèque), mais est-ce bien raisonnable de penser à un effet de sky à 5h12 du matin, alors que ce genre d'appareil ne sert qu'à attirer la clientèle? Un autre indice important: le témoin n'a vu aucun faisceau."

LDLN N° 341


17 juin 1996, au-dessus des Alpes bernoises.

Alors qu'il survole les Alpes bernoises dans une zone sans couverture radar, l'équipage d'un avion de la compagnie Air Engadina observe un objet étrange qui se déplace rapidement sur une trajectoire de collision. Selon l'équipage, il ne peut s'agir d'un avion. Le lendemain, les autorités (s.a.p.) ont démenti la présence d'un OVNI dans le secteur.

LDLN N° 339


8 mars 1997, Genève, quartier du Bouchet.
Voir les détails dans notre rubrique "enquêtes".


C'était le lundi 4 août 1997 à 23h10, nous étions en train d'observer le ciel à la recherche d'étoiles filantes quand nous est apparu un ovni.

Caractéristiques de l'ovni : il se distinguait parfaitement du ciel à cause de sa couleur grise, il était triangulaire et à chaque extrémité de l'appareil une lumière (de la taille d'une étoile vu de la terre) brillait. La lumière ne clignotait pas comme sur un avion.

Comportement de l'ovni : l'appareil se déplaçait d'Ouest en Est. A première vue il se déplaçait lentement, puis après quelques secondes il accélérait et ralentissait de nouveau, à ce moment, venu d'ailleurs un point de la taille d'une étoile l'a rejoint et ils disparurent dans le ciel.

L'observation dura environ 10 secondes.

Je tiens à préciser que les conditions climatiques étaient bonnes et que durant l'apparition nous étions trois personnes à l'observer.

Quand aux personnes sceptiques qui penseraient que nous avons pu confondre cet ovni avec un avion ou un satellite nous précisons que nous sommes de fervent amateurs du ciel et que nous savons distinguer un avion d'un satellite et d'une étoile (filante).

Stéphane (de Genève)


Le 11 octobre 1997, vers 4h50, dans un ciel magnifiquement étoilé, j'ai vu environ 7 petits nuages blancs lumineux qui tournaient en forme d'ellipse, de droite à gauche et qui se dirigeaient, sud, sud-est.Ce phénomène a duré environ 30 minutes jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon.

J'ai longuement réfléchi au meilleur moyen de vous donner plus de détails.J'ai donc fait une photo de jour, du site où j'ai observé l'événement, comme ceci vous pourrez mieux vous rendre compte des proportions.

Voici les réponses à vos questions: les nuages tournaient dans le sens des aiguilles d'une montre. Le temps pour une rotation complète était pareil à celui d'un gyrophare (de dépanneuse ou de chasse-neige), en tous cas c'était très rapide. L'espace entre eux ne laissait pas voir les étoiles. Je vous ai parlé de 7 nuages et je me rends compte que je n'en ai dessinés que 6!!! C'est très difficile d'être précis dans des situations pareilles... Encore un détail, peut-être était-ce à cause de la rapidité de la rotation, mais j'ai eu l'impression que le nuage à l'extrémité droite de l'ellipse ne bougeait pas, ou en tous cas pas à chaque tour.

Marceline (Vaud)


Un témoignage reçu par le site Fastwalker (renommé Farfadet) (http://www.ovni.ch/farfadet/)

Le dimanche 9 novembre 1997 vers 16 heures 30, j'étais sur le pont du Mont-Blanc à Genève et j'ai observé un étrange objet dans la direction du Salève. Il était d'apparence métallique et triangulaire. Il volait à 300 mètres d'altitude d'une façon erratique mais horizontalement. Il a disparu derrière le Salève.

D.B. (de Genève)