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Harry
Truman
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Harry Truman griffonait, le 30 octobre 1947, les sujets qu'il
ne devait pas omettre d'aborder avec le Secrétaire d'Etat à la Défense.
Après deux questions sur la mise en oeuvre du Plan Marshall, l'écriture
hâtive du Président poursuit:
"Les implications militaires d'une attaque
par satellite:
a) Avons-nous besoin d'un plan pour y faire face?
b) Devons-nous agir pour en mettre un sur pied?"
En chef d'Etat prévoyant, ayant une vision à long terme de la défense
de son pays, Truman prenait ses précautions: l'année précédente, le
projet R.A.N.D. avait été mis de côté, mais la question des
satellites était dans l'air, et l'"autre côté" aurait pu
être rapidement capable d'en mettre sur orbite... à moins que le Président
n'ait pensé à ces objets, énormes et mystérieux, récemment détectés
en orbite autour de la Terre, à des altitudes de 160 et 800 kilomètres
sur des trajectoires circulaires! Truman en avait personnellement
confié l'étude à l'astronome Clyde Tombaugh (c'est lui qui avait découvert
la planète Pluton en 1930). Le 20 août 1949, celui-ci décrira en détail
un ovni qu'il aura observé. |
"Mesdames, Messieurs, nous
interrompons les émissions sur tout le
territoire des Etats-Unis, car des événement
graves se déroulent en ce moment dans la région
de la capitale. Des échos non-identifiés sont
détectés au-dessus du Pentagone et de la Maison
Blanche, en plein milieu de la zone interdite.
Une interception a été déclenchée. Nous vous
demandons de rester près de vos postes et de ne
pas quitter l'écoute!"
L'émission interrompue reprendra une demi-heure
plus tard, en cette soirée du 19 juillet 1952,
en pleine guerre de Corée et alors que tous les
militaires ne sont pas au courant de la politique
de black-out sur les ovnis décidée par Truman
quelques années auparavant... Cette fois, trop
de témoins assistent à la scène, et le
président ne peut qu'entendre les informations,
heureusement succintes, que donne la radio.
Ces fameux échos radar peuvent s'immobiliser, se déplacer à faible
vitesse ou accélérer brutalement. Ils effectuent des manoeuvres "impossibles",
comme des virages à 90° sans ralentir, changeant de direction sans
transition. Des chasseurs F-94 sont envoyés à leur poursuite, sans
succès. Deux radars enregistrent les échos simultanément, ce qui exclut
l'hypothèse d'un défaut de fonctionnement; d'ailleurs, les contrôleurs
aériens observent visuellement un véritable carrousel de lumières
ponctuelles au-dessus de la capitale des Etats-Unis, observation confirmée
par l'équipage d'un avion civil.
Harry Truman a-t-il eu la bonne idée de prendre
le frais sur la pelouse?
(Jean Gabriel Greslé, OVNI - Un pilote de
ligne parle)
La signature de Truman a été utilisée pour fabriquer le faux memorandum
du 24 septembre 1947, qui parle d'une Opération Majestic-12.
Ce papier a été lancé dans l'arène ufologique en 1984, d'une façon
parfaitement anonyme, et cette affaire a absorbé une énergie considérable
pendant des années, jusqu'à ce que la preuve soit faite qu'il ne s'agissait
que d'un montage. Un gain de temps... pour qui? |

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Dwight
Eisenhower
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Dwight Eisenhower, le président qui déclara, le 16 décembre
1954, que "les soucoupes volantes n'existent que dans l'imagination
de ceux qui les voient", aurait-il pu rencontrer, en personne,
sur le tarmac d'une base de l'Air Force, des occupants d'un
vaisseau extraterrestre, et avoir avec eux une conversation substantielle?
L'événement aurait eu lieu le 20 février de la
même année, selon des sources réputées
sérieuses, comme le comte de Clancarty,
honorable membre du parlement britannique, plus
connu des ufologues sous le nom de Brinsley Le
Poer Trench.
Eisenhower était en vacances à Palm Springs
quand il fut appelé à la base aérienne de Muroc
(appelée plus tard Edwards Air Force Base).
Le président devait avoir une conférence de
presse ce jour-là, mais n'y parut pas. Il était
officiellement chez le dentiste... bien qu'aucun
journaliste ne parvint à savoir quel dentiste le
traita ce 20 février 1954.
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Selon Lord Clancarty, l'affaire lui a été rapportée
par un ancien pilote d'essai de l'Air Force, qui faisait partie
des six personnes qui rencontrèrent les extraterrestres avec Eisenhower.
Sa présence avait été requise en raison de sa réputation et de ses
capacités de pilote d'essai, comme conseiller technique.Le pilote
raconta à Lord Clancarty: "Cinq vaisseaux extraterrestres différents
atterrirent sur la base. Trois étaient des soucoupes et deux avaient
une forme de cigare... et comme Eisenhower et son petit groupe regardaient,
les aliens débarquèrent et s'approchèrent. Ils avaient l'air
d'être humains, mais pas tout à fait..."
D'après le pilote d'essai, ces êtres avaient un
aspect humain, mais ils étaient
disproportionnés. Ils avaient cependant les
mêmes taille et poids apparents qu'un humain
ordinaire, et pouvaient respirer sans l'aide d'un
masque ou d'un casque.
Le pilote dit qu'ils parlaient anglais et qu'ils
demandèrent à Eisenhower d'entreprendre un
programme d'éducation pour le peuple des
Etats-Unis, et par la suite pour le monde entier.
Eisenhower, paraît-il, répliqua qu'il ne
pensait pas que le monde fût prêt pour cela. Il
dit que son souci était que l'annonce de
l'arrivée d'extraterrestres sur notre planète
ne causât une panique.
Les aliens se rangèrent à cet avis, disant qu'ils continueraient
à contacter des personnes isolées jusqu'à ce que les habitants de
la Terre se fussent habitués à leur présence.
D'après le pilote d'essai : "Ils firent une
démonstration de leurs vaisseaux spatiaux au
Président. Ils lui montrèrent aussi comment ils
pouvaient se rendre invisibles.
"Ceci mit le Président mal à l'aise, parce
qu'aucun de nous ne pouvait les voir, alors que
nous savions qu'ils étaient toujours là.
Ensuite, les extraterrestres remontèrent dans
leurs appareils et s'en allèrent."
Le pilote dit encore à Lord Clancarty que jamais
il n'avait parlé de cette rencontre à personne,
et que tous les autres témoins de ces
événements étaient morts à ce jour. (Timothy
Green Beckley, Ufos Among the Stars)
Il existe d'autres versions de cette histoire.
Jacques Vallée, dans son ouvrage OVNI: la
Grande Manipulation, mentionne (avec des
pincettes) un certain Gerald Light, selon lequel
Eisenhower aurait fait cette expédition à Muroc
une nuit d'avril 1954. Ce même Light aurait
lui-même visité la base aérienne en question,
en compagnie de Franklin Allen (des journaux
Hearst), d'Edwin Nourse (de l'Institut
Brookings), et de l'évêque MacIntyre, de Los
Angeles. On l'avait autorisé, affirme-t-il, à
entrer dans la section secrète, et à s'y
promener pendant deux jours; il déclara avoir vu
cinq vaisseaux spatiaux de types divers "que
les officiers de l'armée de l'air touchaient et
examinaient avec le concours et l'autorisation
des Ethériens".
William
Milton Cooper, pour sa part, prétend que
cette rencontre fut en fait la deuxième - une
précédente visite de ces éclaireurs en
provenance d'une planète orbitant autour de
Bételgeuse, s'étant déjà produite à Holloman
Air Force Base. Au cours de cette seconde
entrevue, Cooper dit qu'un traité fut signé,
établissant les modalités d'une présence et
d'une collaboration secrète des aliens
avec le gouvernement américain. Le crédit de W.
M. Cooper dans les milieux ufologiques n'est
cependant pas très solide. |

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John
Kennedy
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John Kennedy est le seul président dont on sache de façon
certaine qu'il a visité le Groom Lake Air Force Range, dans
la fameuse Area 51. C'était en 1962, sept ans après l'installation
de cette base où furent menées des recherches de pointe en relation
avec les ovnis.
Kennedy avait du être "briefé" sur
les ovnis par le Dr Donald Menzel, membre dès
les années 30 d'un organisme qui devint plus
tard la National Security Agency (NSA), et
qui avait aussi travaillé pour la CIA...
dans un domaine qu'il n'est pas très difficile
de deviner, puisqu'il publia en 1953 déjà un
ouvrage intitulé Flying Saucers dans
lequel il "expliquait" les ovnis par
des phénomènes optiques... Deux autres livres
suivront, consacrés eux aussi au debunking.
Donald Menzel (que les - fort contestés -
documents de Bill Moore désignent comme un
membre du MJ-12) avait écrit à Kennedy
dès son élection pour l'entretenir de sujets
ayant un rapport avec l'espace... sans prendre le
risque de préciser, dans une correspondance
qu'il savait devoir être lue par le secrétariat
du président-élu. |
Cette correspondance a été
retrouvée par Stanton Friedman, ainsi que
d'autres documents indiquant que Menzel jouissait
d'un accès à un très haut niveau de
confidentialité dans les affaires touchant à la
défense nationale: il était l'homme qu'il
fallait pour introduire le nouveau président
dans le secret des dieux. (Voir Jean Sider, Ultra
Top Secret)
Selon des ingénieurs de la NASA, Kennedy
aurait été mis au courant de manifestations de
vie à la surface de la Lune - ce qui l'aurait
poussé à lancer le programme spatial américain
entièrement ciblé sur la conquête du satellite
terrestre. En effet, des observations
astronomiques avaient décelé, depuis le début
des années 50, des anomalies sur la surface du
sol lunaire - mais ces observations ont toujours
été plus ou moins étouffées (à ce sujet,
voir l'ouvrage d'Alfred Nahon, La Lune et ses
Défis à la Science).
Kennedy était suffisamment informé du phénomène pour aller jusqu'à
déclarer, en février 1961: "Je suis maintenant convaincu que
nous recevons la visite de vaisseaux spatiaux provenant d'autres mondes!"
Quelle imprudence... (Johannes von Buttlar, OVNI Nous ne sommes
pas seuls)
Le frère du président, le sénateur Robert Kennedy, écrivit dans une
lettre à Gray Barker:
"Comme vous le savez, je possède une carte
de membre des Amalgamated Flying Saucer Clubs
of America. Ainsi, comme beaucoup d'autres
personnes... je m'intéresse au phénomène des
soucoupes volantes. C'est un sujet fascinant qui
est à l'origine d'oeuvres de science-fiction
comme de recherches scientifiques sérieuses. Je
considère avec grand intérêt tous les rapports
d'objets volants non identifiés, et j'espère
qu'un jour nous en saurons plus sur ce sujet
intriguant... Je suis favorable à une recherche
plus poussée dans ce domaine, et j'espère
qu'une fois pour toutes nous serons en mesure de
déterminer ce qui est vrai à propos des
soucoupes volantes." (Tim Beckley, Ufos
Among the Stars)
Cette correspondance aux forts relents
électoralistes prête à sourire en regard de ce
qui précède... Les liens très étroits qui
liaient les deux frères sont en effet bien
connus, et il est plus que probable que ce sujet
fut évoqué entre eux, comme tous les autres.
En rentrant de sa tournée historique en
Allemagne en été 1963, Kennedy, à bord de son
avion Air Force One, lut les journaux que son
staff avait embarqués en Europe. Parmi ceux-ci,
un journal anglais montrait sur sa première page
une photo de deux ovnis; en le lui remettant, le
steward William Holden avait demandé au
président ce qu'il en pensait.
- Qu'en pensez-vous, vous-même? avait rétorqué
Kennedy.
- Eh bien, j'ai grandi dans une ferme, en
Géorgie, dit Holden (qui a rapporté cette
anecdote à Michael Hesemann). Et je crois que
Dieu, dans Son infinie sagesse, n'a certainement
pas créé autant d'étoiles et de galaxies pour
rien. Je crois qu'il est faux de penser que nous
sommes les seuls.
- Vous avez raison! approuva le président.
Holden eut l'impression que Kennedy en savait
beaucoup plus, mais qu'il ne voulait pas en
parler. (Hesemann & Mantle: Beyond Roswell)
Une affaire plus pénible a entaché la courte vie de John Kennedy:
la mort subite, par "suicide", de Marilyn Monroe. Le suicide
de l'actrice ne semblait faire aucun doute dans l'opinion, jusqu'à
ce qu'un journaliste, Milo Periglio, mette la main sur un rapport
top secret de la CIA, daté du 3 août 1962, soit deux jours avant le
décès de Marilyn!
Dans ce rapport, établi à partir de l'enregistrement de deux conversations
téléphoniques, entre le reporter Dorothy Kilgallen et son ami Howard
Rothberg d'une part, et entre Marilyn Monroe et le procureur général
Robert Kennedy d'autre part, on parle du crash d'un vaisseau spatial
et de corps récupérés... et d'un "sujet" nommé MM (Marilyn
Monroe) qui menaçait de raconter ce qu'elle savait à ce sujet, par
dépit après son "abandon" par le président et son frère
Bob. Les conversations interceptées par la CIA font état d'une visite
du président Kennedy dans une base secrète pour y inspecter des "choses
d'outre-espace". Le rapport mentionne clairement l'intention
du "sujet" (MM) de tenir une conférence de presse et de
"tout dire"! Deux jours plus tard, Marilyn était trouvée
morte dans sa villa de Hollywood... (Hesemann & Mantle: Beyond
Roswell) |

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Lyndon
Johnson
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Lyndon Johnson, le "président de la Commission Condon",
n'imaginait pas ce qu'il allait découvrir au moment de sa prise de
fonction (Kennedy ayant eu la fin que l'on sait, Johnson devint président
sans être élu).
C'est Jacques Bergier (qui fut, entre autres, membre de l'OSS
et resta toute sa vie "en contact" avec les services) qui
nous le révèle dans son ouvrage La grande conspiration russo-américaine;
ce livre fut écrit en 1977, donc avant la découverte des documents
du MJ-12 par William Moore, ce qui rend l'anecdote particulièrement
intéressante:
Aussitôt qu'il investit le bureau ovale à la Maison-Blanche, Johnson
fut informé de l'existence d'un groupe de pouvoir assez secret pour
qu'il dût l'ignorer pendant sa vice-présidence. Ce groupe était désigné
par l'appellation "54-12" - simple référence à la
date de sa constitution (sous sa forme en vigueur en 1963): décembre
1954. Il était constitué d'une quarantaine de spécialistes et aucune
décision présidentielle ne pouvait être prise sans son aval. |
Johnson en conçut, sur le
moment, une forte contrariété, qu'il ne put
s'empêcher d'exprimer, informant à cette
occasion, quoiqu'involontairement, certaines
personnes qui auraient du rester dans
l'ignorance, et qui furent à l'origine de la
fuite dont nous bénéficions aujourd'hui.
Le sigle "54-12" est souvent
cité comme équivalent de "MJ-12"
dans maintes études à ce sujet; la précision
apportée par Bergier est un élément dont aucun
ufologue, à notre connaissance, n'a fait état
jusqu'à présent.
Johnson s'intéressa de près aux ovnis: il y fut contraint par la vague
d'observations de 1965-66 aux USA qui remplit la presse de rapports
émanant souvent de personnalités, comme le gouverneur de la Floride
en avril 1966, accompagné de journalistes du Miami Herald lors
de la rencontre de son avion avec un ovni.
Il dut se sentir tout à fait à l'aise avec le
problème, puisqu'il avait été l'un des
sénateurs et membres du Congrès à qui le
rapport confidentiel du NICAP, contenant
des documents prouvant l'existence des ovnis,
avait été adressé. Dans une réponse au NICAP,
le 6 juillet 1960, le Sénateur Johnson faisait
savoir qu'il avait ordonné au personnel du Senate
Preparedness Investigating Subcommittee (P.I.S.)
de garder une attention soutenue aux
développements du phénomène ovni, et de faire
rapport sur toute observation significative et
sur les enquêtes de l'Air Force relatives
à ces observations (Congressional Record,
Appendix, September 2, 1960, publié par Jean
Sider, op. cit.)
Lyndon Johnson écrivit lui-même à un correspondant: "...J'ai
personnellement transmis votre intéressant document au bureau du PIS.
Vous n'ignorez sans doute pas que j'ai donné des ordres pour que l'affaire
soit suivie de très près, et pour que l'on m'informe en permanence
de toutes les apparitions d'ovnis significatives", confirmant
ainsi le vif intérêt qu'il prenait à cette question (Johannes von
Buttlar, op. cit.)

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Richard
Nixon
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Richard Nixon n'avait pas que des ennemis.
Parmi ses fidèles amis se trouvait Jackie Gleason, un animateur
célèbre aux USA (il est décédé en 1987). Gleason était un mordu
des soucoupes: il possédait des centaines d'ouvrages sur le sujet,
était abonné à des revues spécialisées, et avait même fait construire
sa maison de Peekskill, New-York, en forme de vaste soucoupe qu'il
appelait son "vaisseau-mère"... Il avait observé à deux
reprises des ovnis en Floride, et était certain que ces objets
venaient d'un autre monde.
Quand Larry Warren (co-auteur du livre Left at East Gate)
commença à parler publiquement de l'affaire de Bentwaters, Jackie
Gleason, qui l'avait vu à la télévision, l'invita pour bavarder
un peu. Il l'interrogea longuement sur ce qu'il avait vu dans
cette base de l'est de l'Angleterre, en décembre 1980. Puis à
son tour, il lui fit une confidence: |
- Je vais vous dire une chose,
qui de toute façon finira par être connue un
jour: nous les avons!
- Nous avons quoi? demanda Warren.
- Les extraterrestres! dit Gleason. Et il
poursuivit en racontant cet épisode inoubliable
de son existence:
- C'était quand Nixon était encore en poste qu'une chose vraiment
étonnante m'arriva. Nous étions de bons camarades de golf, et nous
avions déjà joué toute la journée quand, autour du 15ème trou,
le sujet des ovnis vint dans la conversation. Peu de gens le savent,
mais le président partage mon intérêt pour ces choses-là et il a chez
lui une bonne collection de bouquins sur les ovnis, tout comme moi.
Pour certaines raisons, cependant, il ne m'avait jamais confié ce
qu'il savait personnellement être véridique... une de ces raisons
étant qu'il était toujours entouré par d'innombrables aides et conseillers.
Plus tard dans cette même soirée, les choses
allaient changer radicalement. Richard Nixon est
venu chez moi vers minuit. Pour une fois, il
était seul. Il n'y avait pas d'agents des
services secrets avec lui, ni personne d'autre
(Gleason apprit plus tard que les services de
sécurité étaient sur les dents en cherchant
Nixon partout). Je lui dit, "Monsieur le
Président, que faites-vous ici?" et il me
dit qu'il voulait m'emmener quelque part et me
montrer quelque chose.
Je suis monté dans sa voiture privée et nous
avons foncé dans la nuit. Je ne découvris notre
destination qu'en y arrivant: c'était Homestead
Air Force Base. Je me souviens que nous sommes
arrivés au portail et qu'un jeune MP s'est
avancé pour nous contrôler: sa mâchoire est
tombée quand il a vu qui était au volant! Il a
vaguement salué et nous sommes entrés.
Nous sommes allés tout au fond de la base, dans
une zone interdite, et nous avons fini par
stopper devant un bâtiment fortement gardé. Les
gars de la sécurité ont fait un pas en arrière
en nous voyant et nous avons pénétré à
l'intérieur.
Il y avait là un certain nombre de labos que
nous avons traversés avant d'entrer dans une
section où Nixon me montra ce qu'il dit être
les restes d'une soucoupe volante, emballés dans
plusieurs grosses caisses.
Ensuite, nous pénétrâmes dans une chambre où
se trouvaient six ou huit frigos comme ceux qu'on
utilise pour le Coca-Cola, avec une vitre sur le
dessus. A l'intérieur se trouvaient les restes
mutilés de ce que je pris tout d'abord pour des
enfants. Puis, en les examinant mieux, je
m'aperçus que certaines de ces dépouilles
semblaient assez âgées. La plupart étaient
terriblement mutilées, comme si elles avaient eu
un accident.
Somme toute, c'était une vision pathétique. A
un moment, le président eut les larmes aux yeux,
et je me rendis compte que ce n'était pas du
tout sa manière de faire de l'humour...
... Ils étaient très petits, pas plus d'un
mètre. Ils avaient une peau grisâtre et des
yeux bridés qui étaient enfoncés
profondément. Je ne me souviens plus s'ils
avaient trois ou quatre doigts, mais ils
n'étaient absolument pas humains."
(Hesemann & Mantle: Beyond Roswell) |
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Gerald
Ford
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Quand Gerald Ford était encore membre
du Congrès, il a vigoureusement combattu contre ceux qui, dans les
sphères du pouvoir, maintenaient le dossier des ovnis sous scellés.
Après une vague d'observations dans son Etat de résidence, le Michigan,
Gerald Ford a fait la déclaration suivante: "Dans la ferme conviction
que le public américain mérite une meilleure explication que celle
donnée jusqu'à maintenant par l'Air Force, je recommande vivement
qu'il y ait l'enquête d'un comité sur le phénomène ovni. Je pense
que nous devons au peuple d'établir une crédibilité vis-à-vis des
ovnis et de produire le plus d'éclaircissements possible sur ce sujet..."
C'était après que l'Air Force, par la
bouche de son conseiller, J. Allen Hynek, se fût
ridiculisée en expliquant des observations
d'ovnis par des "gaz des marais" -
déclenchant une campagne de presse sans
précédent contre les déclarations stupides des
militaires.
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Ford proposa que soit le Science
of Astronautics Committee, soit le Armed
Services Committee de la Chambre des
Représentants, agende des auditions sur "le
sujet des ovnis et invite à témoigner des
membres de la branche exécutive du Gouvernement,
comme des personnes qui prétendent avoir vu des
ovnis". (Timothy Green Beckley, op. cit.)
Le sous-comité eut bien son audition le 5 avril 1966, mais trois personnes
seulement furent invitées à y témoigner, toutes trois liées à l'armée
de l'air: Hynek lui-même, Hector Quintanilla (qui était alors le chef
du Project Blue Book), et Harold D. Brown, secrétaire de l'Air
Force. Celui-ci déclara au comité qu'ils n'avaient pas de preuve
de l'origine extraterrestre des ovnis, ni aucune indication que les
ovnis représentassent une menace pour la sécurité du pays. (Dennis
Stacy, Cosmic Conspiracy: Six Decades of Government UFO Cover-ups)
Si Ford a eu la même surprise que Johnson après
son élection, et on peut légitimement le
penser, on ne s'étonnera pas qu'il ait
"oublié" ses belles déclarations... |

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Jimmy
Carter
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Avant que Jimmy Carter ne devienne président, il promit d'ouvrir
les dossiers secrets du Pentagone et de publier toute l'information
que le Gouvernement détenait sur les ovnis. Il est, bien sûr, revenu
sur sa parole après son élection. Cette volte-face n'a fait qu'alimenter
la rumeur d'un "Watergate cosmique".
"Je ne me moque plus des gens qui disent
avoir vu des ovnis, car j'en ai vu
moi-même."
Le Président Jimmy Carter a fait cette
déclaration en septembre 1973, lors d'un
discours à Dublin, en Géorgie. Les journalistes
l'ont bien sûr pressé de développer, ce qu'il
a fait.
Il a dit qu'alors qu'il était en campagne pour
le poste de gouverneur dans la petite ville de
Leary, dans le sud de la Géorgie (c'était en
octobre 1969), il se tenait à l'extérieur du
hall où il allait s'adresser aux membres du
Lion's Club local et il vit un objet bleu, en
forme de disque, dans le ciel. |
Quelques-uns des organisateurs du
meeting étaient avec Carter quand l'objet
apparut vers l'est. Le futur président bondit
sur un magnétophone pour que sa description de
ce qu'il voyait soit fidèlement enregistrée.Il
continua de raconter aux journalistes:
"C'était à peu près à 30 degrés
au-dessus de l'horizon et paraissait aussi grand
que la Lune. C'est devenu plus petit et c'est
devenu rouge, puis c'est redevenu plus
grand."
Les journalistes lui ont alors demandé quelle
explication il donnait à cela. Il dit:
"C'était un moment très intense. C'était
manifestement là et manifestement
non-identifié."
Carter était assez emphatique à propos de son
observation. Son attaché de presse, Jody Powell,
dit aux reporters: "Je me souviens que Jimmy
disait qu'il avait vu effectivement une étrange
lumière, ou objet, dans le ciel nocturne, qui ne
semblait pas être une étoile ou un avion, ou
quoi que ce soit qu'il pût expliquer. Si c'est
là votre définition d'un objet volant non
identifié, alors je pense que c'est cela."
Powell ajouta: "Je ne pense pas que ça ait
eu un grand impact sur lui, dans un sens ou dans
l'autre. Je me risquerais à dire qu'il a vu des
choses plus étranges et plus inexplicables
pendant qu'il était au Gouvernement."
Voilà une bien curieuse déclaration, quand on
sait que Jimmy Carter avait trouvé l'observation
suffisamment importante pour qu'il prît le temps
et la peine de remplir un rapport détaillé de
trois pages et de l'envoyer à un groupe d'étude
privé sur les ovnis, le NICAP, qui
enquêta sur cette affaire. Mais certains pensent
que Powell laissait sous-entendre que Carter,
devenu président, avait eu accès à des
éléments bien plus troublants, comme des
débris d'engins ou des cadavres d'occupants,
dont le gouvernement américain serait en
possession depuis la fin des années 40. (Tim
Beckley, op. cit.)
Le 1er juillet 1976, le journal italien Eva
Express publiait une interview téléphonique
avec un certain Jeff: "Je me souviens très
bien de cette nuit-là; j'étais près de mon
père. D'abord, j'ai cru que c'était une étoile
filante, et j'ai même dit à mon père de
"faire un voeu". Mais l' OVNI
continuait de se déplacer et de changer de
couleur. Mon père murmurait: "Regarde,
Jeff, maintenant c'est rouge... maintenant c'est
vert... Mon Dieu..." J'avoue que je
commençais à trembler; je ne sais pas pourquoi,
mais je n'y pouvais rien..."
Interviewé à son tour, le père déclara:
"Je me dirigeais vers ma voiture, lorsque,
tout à coup, je vis une masse incandescente dans
le ciel étoilé, aussi brillante et aussi grande
que la Lune. Elle filait à une vitesse
extraordinaire. Personnellement, je n'ai pas
entendu de bruit, mais mon fils Jeff, qui était
avec moi, me dit plus tard qu'il avait perçu un
son métallique venant de l'OVNI. Nous sommes
restés là, bouche bée, pendant dix minutes aux
moins. L'OVNI nous survola pendant un moment,
puis se dirigea vers le Sud, changea de cap à
plusieurs reprises, et se dirigea vers l'Est.
Finalement il disparut à l'horizon."
Cette observation avait eu lieu en 1974, et le
père du jeune Jeff n'était autre que Jimmy
Carter. (Jacques Vallée, OVNI: La Grande
Manipulation)
A en croire l'actrice Shirley McLaine, en tous
cas, le Président Carter en connaissait un bout
sur la question. Lors d'un Larry King Show
sur une chaîne de TV bien connue, elle a
rapporté certaines conversations qu'elle avait
eues avec lui. Il lui avait dit qu'il y avait
effectivement eu des crashes et des corps
retrouvés, mais qu'il ne pouvait pas et ne
voulait pas divulguer des informations à ce
sujet. Il avait ajouté que ce que Shirley avait
écrit dans son livre Out On A Limb était
essentiellement vrai. (Voir ORTK Bulletin
n° 5 du 22.5.95)
Dans ce livre (paru en français sous le titre L'Amour
Foudre dans la collection J'ai lu), on
trouve entre autres un récit d'une expédition
que l'actrice a effectuée dans les Andes, où
des ovnis furent observés; la population locale
les connaît bien, et raconte que ces objets
volants exploitent du minerai dans les montagnes
proches du lac Titicaca.
Carter resta beaucoup plus circonspect quand, répondant à des étudiants
qui lui demandaient s'il avait connaissance d'une preuve de l'existence
des ovnis que le gouvernement détiendrait (il n'était alors plus président),
il répondit que les militaires américains et les agences de sécurité
enquêtaient activement sur les rapports concernant les UFOs,
ajoutant cependant:
"Je n'ai jamais été informé d'aucun cas
où il ait été prouvé qu'un quelconque
véhicule était venu de l'espace dans notre pays
et y était resté ou en était reparti." (ORTK
Bulletin)
Aurait-il sous-entendu que les objets qu'il avait vus avaient une
autre origine?...
Le 15 janvier 1996, l'ex-président fut interviewé par des journalistes
du Paul McKenna Show sur son observation d'OVNI, ainsi que
sur les déclarations politiques qu'il avait faites avant d'être élu,
demandant l'ouverture du dossier au public:
Le journaliste: "En 1976, vous aviez dit que vous tenteriez de mettre
à disposition du public et des scientifiques toute information sur
les autres observations d'OVNI. Pensez-vous y être parvenu?"
Carter: "Je n'en suis pas sûr, mais nous avons publié une grande quantité
d'informations."
Puis l'expression détendue et aimable de l'ancien président se fit
très sérieuse et, avec de grands yeux et un haussement de sourcils,
il ajouta:
"... mais je ne sais pas combien n'ont pas été publiées."
(The Unopened Files N°3, 1997, Quest Publications) |

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Ronald
Reagan
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L'anecdote suivante, concernant Ronald Reagan, a été rapportée
par le journaliste Harold Salkin, après qu'il eut une conversation
téléphonique avec Steve Allen lors de son émission radiophonique.
D'après Allen, une personnalité très connue du show-business (qui
fut identifiée par la suite: il s'agissait de Lucille Ball) donnait
une réception à Hollywood, à laquelle les Reagan étaient invités.
Alors que les convives prenaient place à table
pour le dîner, ils remarquèrent que le
Gouverneur de Californie n'était pas encore
arrivé, bien qu'il fût attendu beaucoup plus
tôt.
Environ une demi-heure après le début du repas, Ronald et Nancy Reagan
apparurent, mais ils étaient visiblement sous le choc. Ils dirent
aux invités qu'ils avaient vu un ovni tandis qu'ils longeaient la
côte en voiture, et qu'ils avaient pris le temps d'observer ses mouvements.
(Tim Beckley, op. cit.) Aucune information supplémentaire sur
cette observation ne fut jamais rendue publique, contrairement à celle-ci,
qui survint en 1974, quand le Gouverneur Reagan volait sur Bakersfield:
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"Je me trouvais à bord de
mon avion, je regardais par le hublot et j'ai vu
cette lumière blanche, raconta-t- il, devenu
président, au journaliste Norman Miller, chef du
bureau de Washington du Wall Street Journal.
"Ca se déplaçait en zig-zag. Je suis allé vers le pilote et je
lui ai demandé: "Vous avez déjà vu quelque chose comme ça?"
Il était choqué et a répondu "non", alors j'ai dit: "Eh
bien, suivons-le!" C'était une lumière blanche, claire. Nous
l'avons suivie jusqu'aux environs de Bakersfield, puis à notre grande
surprise c'est monté très vite dans le ciel. Après l'atterrissage,
j'en ai parlé à Nancy. Et nous lûmes tout sur la longue histoire des
ovnis..."
Interrogé par des journalistes au sujet de
cette histoire, le pilote de Reagan, Bill Paynter, s'en souvint aussi:
"A bord se trouvaient le Gouverneur Reagan et deux de ses gardes
du corps. Nous volions dans un Cessna Citation. Il était quelque
chose comme neuf ou dix heures du soir. Nous approchions de Bakersfield,
quand le Gouverneur Reagan et les autres m'ont fait remarquer une
grande lumière blanche qui semblait venir à notre rencontre. Cela
paraissait se trouver à quelques centaines de mètres. C'était une
lumière particulièrement stable, avant qu'elle ne se mette à accélérer
et semble alors allongée. Puis elle est partie d'un coup, à un angle
de 45°... d'un instant à l'autre, elle passa d'une allure de vol normale
à une vitesse vraiment fantastique".
Miller demanda alors à Reagan s'il croyait aux ovnis.
"Quand je lui posai cette question, il me
regarda d'un air effrayé. Il s'était soudain
rendu compte de ce qu'il venait de dire - et
quelles conséquences cela pourrait avoir, et
qu'il parlait à un journaliste. Il s'est alors
vite repris et a répondu calmement: "Disons
simplement qu'en ce qui concerne les ovnis, je
suis un sceptique". (Michael Hesemann, Geheimsache
UFOs)
Le président Reagan semble cependant avoir été
suffisamment marqué par ces observations pour
évoquer à maintes reprises, dans ses discours,
la possibilité d'une visite extraterrestre. Son
intervention la plus connue est celle qu'il fit
à l'ONU le 21 septembre 1987:
"Dans notre obsession des antagonismes du moment, nous oublions
souvent tout ce qui unit les membres de l'humanité: Peut-être avons-nous
besoin d'une menace extérieure, universelle, pour nous faire prendre
conscience de ce lien commun. Il m'arrive de penser combien nos différences,
partout dans le monde, s'évanouiraient rapidement si nous étions confrontés
à une menace venant d'un autre monde", ajoutant qu'une telle
force étrangère à la Terre "pourrait déjà être parmi nous!"
Il avait déjà abordé le même thème lors de sa première rencontre avec
Mikhaïl Gorbatchov, en novembre 1985, à Genève: "J'ai dit au
leader russe à quel point je pensais que sa tâche et la mienne seraient
facilitées si ce monde était menacé par une autre espèce, d'une autre
planète dans l'univers. Nous oublierions toutes les petites différences
locales qui séparent nos pays."
Cette déclaration n'a d'ailleurs pas échappé à Hafez el-Assad, président
de la Syrie. Dans une interview accordée à un groupe de journalistes
et publiée dans le numéro du 20 octobre 1986 du magazine Time,
le chef de l'Etat syrien, ne cachant pas son intérêt pour les OVNI,
suggéra, en parlant des relations URSS-USA, que "seule une puissance
extraterrestre pourrait apporter la paix entre les deux super-puissances".
Fred Barnes, le rédacteur-en-chef de la New Republic, rapporte
par ailleurs un dialogue entre Reagan et le ministre des Affaires
étrangères Edouard Shevarnadze, où le président demanda à haute voix
à son interlocuteur: " Qu'arriverait-il si le monde devait faire
face à une menace venant d'outre-espace? Ne pensez-vous pas que les
Etats-Unis et l'Union soviétique s'uniraient?"
"Oui, absolument", répondit
Shevarnadze, "et nous n'aurions pas besoin
pour cela d'une rencontre entre nos ministres de
la Défense". (Tim Beckley, op. cit.)
C'est une idée qui ne sortait pas de la tête de
Reagan. Jean Sider (op. cit.) mentionne
encore les allusions à ce thème d'une menace
extraterrestre faites le 4 décembre 1985 à la High
School de Fallston, Maryland, et le 4 mai
1988, durant une réunion au National Strategy
Forum de Chicago.
Deux jours plus tard, encore, le 6 mai, Ronald et
Nancy s'embarquent dans l'hélicoptère
présidentiel pour aller passer le week-end dans
leur ranch. Avant que la porte ne se referme,
Reagan dit aux journalistes agglutinés au pied
de l'échelle, le plus sérieusement du monde:
"Si quelque chose se produit [...] j'espère
que tous les peuples de la Terre s'uniront.. dans
le cas d'une invasion extraterrestre".
Ronald Reagan, qui, pas davantage que ses
prédécesseurs, ne devait être autorisé à en
dire plus, avait manifestement un message à
faire passer...
Une rumeur, qui semble émaner d'un groupe ufologique canadien, fait
état d'une rencontre de Reagan avec trois EBE (des "petits-gris")
le 2 mars 1982 - rencontre qui laissa le président horrifié par l'aspect
de ses "interlocuteurs"... Peut-être cet événement fut-il
à l'origine de l'obsession de Ronnie pour les envahisseurs...
Tout élément tendant à confirmer ou infirmer cette rumeur sera le
bienvenu (e-mail: grepi@ovni.ch).
Quand le film de Steven Spielberg E.T. est sorti, en 1982,
une projection privée a eu lieu à la Maison-Blanche, où le réalisateur
fut invité. La rumeur court toujours, à Hollywood, que pendant cette
projection, le président s'est penché vers Spielberg et lui a chuchoté
à l'oreille: "Il n'y a sans doute pas plus de six personnes, dans
cette salle, qui savent à quel point cela est vrai."
(The Unopened Files N°3, 1997, Quest Publications) |

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George
Bush
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Dire de George Bush qu'il fut pendant l'année1976
directeur de la C.I.A. suffit à indiquer à quel niveau d'information
il avait accès, et la position privilégiée qui fut la sienne pour
être informé des dossiers les plus confidentiels bien avant son accession
à la présidence.
Dans un récit qu'il fit au Lt. Col W.C. Stevens,
Derek Hennessy, un membre du fameux Seal Team
Six, une unité d'élite de la Navy, donna des
détails intéressants sur le secteur S-4 et ses
installations souterraines, dans la base de
Nellis. Il dit avoir vu là des disques qu'on
montait à la surface à l'aide d'ascenseurs:
"Quand j'y étais, ils essayaient de faire
fonctionner les disques, mais sans y parvenir. Il
y avait des scientifiques, j'ai vu moi-même de
hauts fonctionnaires de la Maison-Blanche et le
Vice-Président George Bush dans les
installations." (Hesemann & Mantle: Beyond
Roswell)
Mentionnons également que d'après William
Moore, George Bush présidait également le
fameux MJ-12 (Jean Sider, op. cit.)
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Le Dr. Marina Popovitch, ancienne
cosmonaute et colonel de l'armée de l'air soviétique,
rapporte une information du Politburo selon laquelle
George Bush et Mikhaïl Gorbatchov, lors de leur
rencontre à Malte, ont parlé ensemble d'une observation
d'OVNI faite par des scientifiques en URSS. Cette
observation impliquait une expérience spatiale à
destination de Mars. Le Dr. Popovitch, qui était par
ailleurs un expert en matière d'OVNI auprès des
autorités soviétiques, a rapporté cette discussion
dans l'émission de télévision Hard Copy (D.
A. Lewis & R. Shreckise: UFO End-Time Delusion).

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En août 1995, le président Bill Clinton fêtait
son quarante-neuvième anniversaire dans le Wyoming, en compagnie d'une
brochette d'invités prestigieux, parmi lesquels se trouvait Laurence
Rockefeller. Ce solide octogénaire est connu pour son intérêt pour
l'environnement - il conseille en cette matière tous les présidents
depuis Eisenhower.
Mais Rockefeller est aussi de ceux qui ont fait
pression sur l'administration Clinton pour
l'ouverture du dossier des ovnis. Le New
York's Hometown Newspaper fait état, dans
son édition du 24 août 1995, d'une
correspondance selon laquelle Rockefeller a dit
au conseiller scientifique de la Maison Blanche,
John Gibbons, que le gouvernement doit mettre fin
à un black-out de plus de 40 ans sur les ufos,
en particulier sur le crash présumé d'un
véhicule spatial à Roswell, NM en 1947.
Rockefeller a également financé une recherche
sur les ovnis, menée par trois anciens
astronautes, ainsi que le projet d'un groupe qui
espère établir des contacts extraterrestres au
moyen de lasers. (ORTK Bulletin)
On ne connaît pas le détail des conversations qu'ont eues Clinton
et Rockefeller, mais il serait étonnant que le financier n'ait jamais
abordé la question des ovnis avec le président, et que celui-ci soit
aussi ignorant du sujet qu'il l'a laissé croire lors de son "pélerinage"
en Irlande, répondant à un jeune garçon qui l'interrogeait sur l'état
du dossier: "Moi aussi, j'aimerais savoir!"
Bill Clinton semble être décidé à en avoir le
coeur net à propos des ovnis: à en croire le
Capt. John McAndrews, de l'U.S. Air Force, le
président a demandé à son conseiller
scientifique, John Gibbons, de déterminer si le
film de Ray Santilli sur la créature de Roswell
était authentique, et si d'autres films se
trouvaient encore dans les archives de l'Air
Force; il semblerait que ce soit le cas, d'après
l'enquête effectuée à cette occasion.
(Hesemann & Mantle: Beyond Roswell)
Dans son livre Friends in High Places,
Webster Hubbell, ancien responsable au ministère
de la Justice, rapporte un propos du président
à son endroit: "Webb, si je te mets à ce
poste à la Justice, c'est parce que je veux que
tu trouves les réponses à deux questions pour
moi. Un, qui a tué JFK? Et deux, y a-t-il des
Ovnis?" Clinton était absolument sérieux.
Hubbell entreprit des démarches pour rassembler
des éléments sur ces questions, mais ne fut pas
satisfait par les réponses qu'il obtint. Lors
d'un voyage au Colorado, il interrogea le NORAD,
mais l'Air Force lui affirma qu'il n'y
avait pas d'Ovnis... (FATE, March 1998)
Etrange façon, pour un président, de tenter de
savoir ce qui se passe chez lui! Son émissaire
s'attendait-il à des réponses franches et
ouvertes? Clinton semble bien être le seul à ne
pas être au parfum: il est vrai que la renommée
lui prête des occupations autrement
importantes...
Sacré Bill... |
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Bill
Clinton |
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Aujourd'hui, vous pouvez voir tout cela en images:
http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=1118419140
http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoID=1118466081

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